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29.01.2021

Quatre questions...

Et quatre réponses - les miennes ! - à lire dans le n°316 de la Revue des Livres pour Enfants, publication du Centre national de la littérature pour la jeunesse et de la BnF, au sujet de mon travail de traductrice (ou plutôt d'interprète) pour le bel album FEMMES de Paulina Silva aux éditions La Boite à Bulles.

J'y évoque ma rencontre avec ce texte et ces images, superbes, ainsi que mes travaux de réécriture pour L'Élan Vert et HongFei Cultures...

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 Bonne lecture !

28.11.2018

Allô Montreuil ?

Ce matin, à l'occasion de l'ouverture du Salon de Montreuil, j'ai parlé au micro de Thierry Boulant - merci à lui ! - sur France Bleu Auxerre.  On pourrait sous-titrer cet entretien comme ça : « Écrire pour la Jeunesse... Pourquoi ? Comment ? Vous avez 5 minutes ! » J'ai donc tenté d'être claire, sans énoncer trop de bêtises. À vous de juger, maintenant !

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11.03.2014

Encore :-)

Aujourd'hui, mardi 11 mars 2014, de 13 à 14 heures, sera rediffusée l'émission Détours consacrée à Salaam Palestine !

Ça se passe toujours sur La 1ère (chaîne publique suisse n°1) avec Madeleine Caboche, à la voix formidablement présente malgré la distance : nous étions en studio à Paris, elle à Lausanne... et pourtant nous avions l'impression d'être à ses côtés ! À l'écoute, sans doute aurez-vous vous aussi cette impression. Bref, une belle émission, vous verrez - en toute modestie objective, bien sûr ! ^^

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;-)

 

Et si vous ne voulez (ou ne pouvez) pas attendre 13 heures, mais que l'émission vous intéresse... cliquez là ! Très belle journée @ tous !

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14.05.2013

Les Trois Musiciens * Entretien !

Chose promise... voici le début de l'entretien publié dans le cahier pédagogique de mon album Les Trois Musiciens - voir la note précédente.

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Quelle a été votre motivation pour travailler sur ce nouveau projet de la collection “Pont des arts” ?

Picasso était placé très haut sur ma petite liste de souhaits. Les éditeurs, après une déception commune sur un projet précédent avorté, m’ont fait cette offre : comment la refuser ?

Portiez-vous un intérêt particulier aux œuvres de Picasso et au cubisme ?

Oui, bien sûr. Picasso m’a vite plu, dès petite. Son inventivité, sa très grande liberté. Cela vient de mon grand-père, qui était artiste et l’admirait beaucoup. D’ailleurs, je ne peux pas m’empêcher de les associer toujours un peu.

Plus tard, lorsque j’étais étudiante en Histoire de l’Art, j’ai fait un stage au musée Picasso, à Paris. J’ai trié et classé sa correspondance avec Jaime Sabartés, son fidèle secrétaire. C’était passionnant.

Qu’est ce qui a déclenché votre récit… autour d’une “bête féroce” qui d’ailleurs n’existe pas ?

C’est le chien caché sous la table, dans l’ombre, au pied des personnages. La même année, Picasso a peint deux tableaux assez similaires et portant le même titre : Les Trois Musiciens. Je pouvais choisir l’un ou l’autre. Alors, je me suis fait plaisir. Je préférais nettement celui-ci, que je trouvais à la fois plus sobre (plus facile à lire, en quelque sorte) et plus riche en couleurs. Le bleu, par exemple, est absent de l’autre toile. Et puis... ce chien, surtout, bien mystérieux !

Peut-on voir une référence à l’actualité ? Discours sur la sécurité, menace, peur, dictature - car un roi qui n’est intéressé par rien, ni le savoir, ni la nature, ni la culture, ni l’amour, ça fait peur mais ça existe bel et bien…

Cette histoire est en effet un conte politique. La manipulation des peuples par la peur, c’est tellement courant, tellement omniprésent aujourd’hui - de mille et une manières, à différents degrés, sous toutes les latitudes... La culture est une réponse : la culture n’est pas un luxe. Bien au contraire. Car elle est liée à la liberté, à l’échange, à la connaissance et à la compréhension de soi-même, des autres et du monde...

Pourquoi une femme pour révéler la vérité ?

Sans doute mon féminisme a-t-il parlé pour moi ? Non, en réalité, dans ma première version, c’était un enfant qui déjouait la machination. Mais les éditeurs et moi avons pensé que peut-être la ficelle était un peu grosse... Avons-nous eu tort ? Dans mon esprit, la révélation devait venir de quelqu’un dont on ne se méfie pas, qui ne fait pas de bruit... Cette jeune femme est une amoureuse. Elle rêve à sa fenêtre et c’est ainsi qu’elle voit tout.

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