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29.02.2008

Le courrier des lecteurs

Depuis la parution de mes Lettres à une disparue, de nombreux lecteurs m'ont écrit.

Correspondances est l'endroit idéal pour leur rendre un hommage... ému.

 

 

Ce que j’ai adoré dans votre livre, c’est l’intrigue. La peine, tout d’abord, quand Melina est désespérée, puis quand elle apprend que Lélia retrouve son neveu Guille qui était retenu dans une famille du quartier militaire. Alors là, Melina reprend espoir et va tout mettre en œuvre pour retrouver sa chère et tendre petite fille Nina, qu’elle retrouvera par la suite. Cette histoire passe d’un extrême à l’autre. Dans l’intrigue, il y a une vraie leçon de courage que donne Melina : ne jamais abandonner. Marc (13 ans)

 

 

Personnellement, je l’ai trouvé très bien écrit car l’histoire nous permet de comprendre les horreurs de la dictature. Le fait de penser à cette femme, à cette famille qui a été déchirée par un régime politique donne presque envie de pleurer. Les mots que vous avez utilisés sont touchants. Lorsque Melina dit à la fin de chaque lettre : « Je t’embrasse fort, Maman », ces mots m’ont fait imaginer la vie si je perdais ma mère. Vincent

 

 

Je tenais à vous faire part de mes sentiments. Votre oeuvre m'a vraiment touchée. Elle est si bouleversante, si vivante à la fois : cette histoire montre bien le combat d'une mère face à la disparition de sa fille, dans un pays soumis à la dictature. Comment ces tortures, disparitions, enlèvements et ces procès peuvent-ils arriver à des êtres de chair et de sang ?

J'avais lu votre livre une première fois sur les conseils d'une amie et j'ai pris le même plaisir à le relire en classe. Laïla (14 ans)

 

 

Si je vous écris, c'est à propos d'un de vos livres que nous avons étudié en cours de Français.

Je l'ai trouvé très réaliste et je n'ai pas pu m'empêcher de le lire en une soirée.

Cela m'a rappelé l'époque où j'habitais au Mexique. Il s'est passé des événements qui ressemblaient à ceux que vous avez décrits. Des enfants étaient kidnappés, on demandait une rançon à leur famille, mais on n'était jamais sûr de les retrouver vivants.

C'est un peu ce qui est arrivé à Paloma, Juan et Nina.

Ce livre m'a beaucoup touchée, il ressemble à un vrai journal ! Aurore (14 ans)

 

 

(@ suivre...)

 

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