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Me revoilà ! (suite)

HG03.jpgVous avez remarqué ? J'ai changé la couleur de mon carnet : avant, les flocons tombaient sur fond vert. Je ne sais pas pourquoi - suivez mon regard vers la fenêtre aux carreaux glacés - mais j'ai soudain eu très envie de plus de chaleur, de douceur... (J'espère que ça ne fait pas trop "layette"-: ce ne serait pas raccord avec ma nouvelle sélection musicale !)

Dans la foulée, j'ai bricolé une bannière flambant neuve pour la page d'accueil. Est-ce qu'elle vous plaît ? Je n'en avais jamais changé depuis la création du blog, en... novembre 2005 ! Quoi ? Déjà plus de 6 ans que j'écris ici ? Oh, oh... Je vais réfléchir à faire quelque chose - un jeu ? - en novembre prochain, pour fêter nos 7 ans de Correspondances...

HG02.jpgMa note précédente tentait de vous faire croire qu'entre deux séjours prolongés dans ma cuisine ou ma bibliothèque, trois messages in English et diverses retrouvailles, j'avais quand même eu le temps de travailler un peu. Et, maintenant, vous voulez des preuves-! Aïe. Le problème, c'est que je n'en ai pas. Car, tout ce que j'ai fait, je ne peux ni le montrer encore, ni même trop en parler...

Comment ça, "trop facile" ? Bon. Allez... d'accord. Je vais faire un effort.

HG07.jpgJ'ai lu, relu et re-relu les épreuves d'un album à paraître en avril. Fait une rencontre (peut-être) importante et visité les coulisses de l'UNESCO. Ressorti mes notes de voyage, revisionné toutes les images et repris le fil du récit. Rédigé la dernière double-page (documentaire) et corrigé le texte de mon prochain Pont des Arts, prévu pour juin. Échangé des dizaines de mails avec deux amies atteintes de la même folie (douce !) que moi et traversé le Japon sans bouger. Répondu à plusieurs invitations par la négative. Répondu à plusieurs invitations par la positive. Retrouvé la trace et fait provision de mes crayons de couleurs préférés - qui, bizarrement, ne se vendent que par lot et sur des sites hyper spécialisés. Dessiné, dessiné, découpé, collé, dessiné. Lu de la documentation et survolé des cartes sans quitter mon bureau. Lu les échos de la profession, en ligne et sur papier. Classé ma correspondance. Rédigé deux revues de presse mensuelles et commencé la collecte d'articles et de liens pour la suivante. Mis mon site à jour. Envoyé un devis. Commencé un second, en me renseignant sur le prix des webcams... Bref, j'ai travaillé.

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PS : Les quelques morceaux d'images qui accompagnent cette note sont extraits de mon prochain album. Celui-ci sera le fruit d'un travail de réécriture, fait "sur mesure" (et avec grand plaisir) pour les pinceaux habiles et acidulés de... de... à vous de deviner ! J'attends vos réponses en commentaires. Le premier qui trouve le nom de l'illustrateur (ou trice) gagne l'album !

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Soliman sur les ondes

Cet après-midi à 18h15, vous pourrez m'entendre parler de mon roman Soliman le Pacifique (Journal d'un enfant dans l'Intifada) au micro de l'émission "À plus d'un Titre" sur RCF Saint-Etienne. Si vous n'êtes pas dans la région stéphanoise, pas de souci : vous pouvez l'écouter sur Internet. Ensuite, l'émission sera encore disponible à l'écoute pendant quatre semaines... Bref, vous n'aurez aucune excuse pour ne pas l'avoir entendue ! ;-)

En complément de l'émission, voici l'article paru dans la presse locale vendredi dernier, jour de son enregistrement public. Il est signé Jacques Plaine, le dynamique fondateur de la fameuse Fête du Livre de Saint-Etienne. Merci à lui pour cette fort belle lecture de mon livre... ainsi que pour son accueil attentif et souriant !

 

couvombresolimanpf.jpg« Cher Journal ». Par ces deux mots chaque jour Soliman commence à écrire. A écrire « tout ce qui lui passe par la tête, des plus petites choses de son quotidien à ses rêves les plus grandioses ». Dans un cahier à spirale poussiéreux - tout gondolé - qu’il a trouvé dans les affaires de son frère. Rouslan le vieil instituteur - qui en voisin attentif a mesuré l’ampleur de ses souffrances - lui en a soufflé l’idée : « Essaie d’écrire aussi tout ce qui te fait mal ». Et il a ajouté : « ça décourage les cauchemars ».

Car des cauchemars, Soliman en collectionne - et de la pire espèce - dès qu’il ferme les yeux. Depuis sept ans. Depuis la première Intifada. Depuis que Chéri - son grand frère âgé alors d’une douzaine d’années - a été abattu par un soldat israélien. Un soldat pris de panique. Un bleu qui avait perdu son sang froid et avait lâché une rafale de mitraillette devant la porte du collège. Et Chéri avait ramassé une balle perdue. Mort sur le coup. En pleine rue. Yaya - la vieille grand-mère Yaya - s’était agenouillée aussitôt et, prenant la tête de Soliman entre ses mains, lui avait fait promettre de ne jamais se venger. « Sol, s’il te plaît, promets-moi... ». Et il avait promis.

« Cher Journal ». Soliman, quand monte le soir et qu’il est seul dans sa chambre, lui raconte son quotidien pourri de gamin des « Territoires ». Son quotidien et celui des siens. Celui d’une famille écrasée de douleurs par la mort de Chéri, le grand frère. Mais d’une famille de silencieux qui se refusent à parler. A parler du passé : « le passé n’entrait jamais chez nous...et maman fermait la porte à tout ce qui ressemble à des souvenirs ». Une famille qui survit tant bien que mal sur cette terre de Cisjordanie où tout est fait pour empoisonner l’ordinaire, décourager les espérances - les grandes comme les petites - et transformer le plus banal des projets en chemin de croix - mais peut-on parler de corde dans la maison du pendu ? Sur cette terre de Cisjordanie où la peur génère la peur, où la haine nourrit la haine et où les vivants ont déjà un pied dans le royaume des morts.

« Cher Journal, Yaya dit que ce qui nous sépare aujourd’hui, les Juifs et nous, ce ne sont ni nos religions, ni nos langues, ni nos coutumes différentes, ni même plus la question de terre, mais tous ces morts, tous ces chagrins inconsolables que nous nous causons les uns les autres sans fin. »

Aujourd’hui publié en livre de poche, «  Soliman le Pacifique » a obtenu en 2002 le Prix du roman de jeunesse du Ministère de la Jeunesse, de l’Education et de la Recherche.

 

Je tiens également à remercier ici Jean-Claude Duverger pour ses questions, pertinentes autant que bienveillantes, et  madame Colette Plaine pour sa très grande gentillesse !


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18.05.2009 | Lien permanent

Nina intente un procès

En résonnance avec la lecture de mon roman Lettres à une disparue, un article paru vendredi dernier dans Le Monde. (Merci Chantal, pour ta revue de presse et ton oeil aiguisé !)

 

32935770.jpgApplaudissements, embrassades et large sourire de Maria Eugenia Sampallo Barragan, mercredi 12 mars, dans une salle comble du tribunal fédéral de Buenos Aires. Cette jeune Argentine de 30 ans est la première enfant de disparus pendant la dictature militaire à avoir porté plainte contre ceux qui l'avaient illégalement adoptée, après que sa mère eut accouché en captivité.

Le procureur, comme la veille l'avocat de l'accusation, a réclamé des peines de vingt-cinq ans de prison contre le couple, Osvaldo Rivas et Maria Cristina Gomez, et contre un ancien tortionnaire militaire, Enrique Berthier, qui leur avait livré le bébé. Ils sont accusés d'enlèvement de mineur, falsification de documents publics et suppression d'identité. La sentence de ce procès historique sera rendue le 4 avril.

"Pendant toute mon enfance, j'ai eu des doutes sur mon identité, a confié Maria Eugenia Sampallo, le premier jour du procès, le 19 février. Quand je posais des questions, l'histoire changeait tout le temps : mes parents étaient morts dans un accident, j'étais la fille de la bonne ou d'une hôtesse de l'air. Ma confusion devenait chaque fois plus grande." Durant plus de deux heures, elle a détaillé les mauvais traitements dont elle a été victime, la poussant, adolescente, à fuir sa maison. "Je t'ai élevée entre des draps de soie. Sans moi, on t'aurait jeté dans un fossé, petite morveuse", lui disait sa "mère adoptive".

Maria Eugenia ne sait ni quand ni où elle est née. "Ma date d'anniversaire, je l'ai choisie toute seule : c'est le 8 février, l'anniversaire de mariage de ma grand-mère. Et ce, jusqu'à nouvel ordre. Si j'obtiens de nouvelles informations, je la changerai volontiers", a-t-elle déclaré.

En 2000, n'en pouvant plus de douter, celle qui s'appelait alors Violeta Rivas a pris contact avec la Commission nationale pour le droit à l'identité (Conadi), puis les Grands-Mères de la place de Mai, l'association qui recherche inlassablement depuis trente ans la trace des quelque 500 bébés volés à l'époque de la dictature militaire (1976-1983). Après des analyses de sang et grâce au fichier ADN des proches des disparus, elle a recouvert son identité à 23 ans, changé de nom et retrouvé sa famille biologique.

Ses parents étaient des ouvriers, militants communistes. Sa mère, Mirta, était enceinte de six mois lorsqu'elle a été enlevée par un commando militaire, avec son mari, le 6 décembre 1977. Conduite au centre clandestin de tortures "El Atletico", en plein centre de Buenos Aires, elle a ensuite été transférée vers une destination inconnue pour accoucher.

AUCUN REMORDS

Des témoignages émouvants ont ponctué le procès. Celui de Azucena Barragan, 80 ans, la grand-mère maternelle de Maria Eugenia. Assise dans une chaise roulante, elle a raconté, d'une voix faible, la longue quête pour retrouver sa petite-fille. Ou celui de Gustavo, le frère de la plaignante, qui a évoqué, ému, l'image de sa mère enceinte. Il avait trois ans quand il a été arrêté en même temps que ses parents. Il a été récupéré par sa famille, 43 jours plus tard, dans un commissariat.

Les trois inculpés n'ont exprimé aucun remords, convaincus d'avoir "bien oeuvré en s'occupant de la petite". Ce sera l'argument de la défense. Pendant les années de plomb, de nombreuses jeunes femmes ont accouché en captivité avant de disparaître. Les bébés étaient confiés à des familles proches des militaires au pouvoir. Les Grands-Mères de la place de Mai ont réussi à retrouver 88 de ces enfants. Des associations de défense des droits de l'homme estiment que 30 000 personnes ont disparu pendant la féroce répression.

Dans le cadre des enquêtes sur les bébés volés, deux militaires sont morts mystérieusement, au cours des derniers mois, avant d'être entendus par la justice.

Christine Legrand
Article paru dans l'édition du 14.03.08.
 
 
> Pour lire l'article sur le site du journal, c'est .
 

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Sur le tapis volant d'Amadou

Le 9 décembre dernier, je suis partie à la rencontre de quatre classes de ZEP (un CE2, un CM1 et deux CM2) dans la circonscription de Mantes-la-Ville.

Organisée par une conseillère pédagogique fort bienveillante, visiblement proche des professeurs, la journée fut idéale : mes albums avaient été lus (et relus) par les élèves, des questions à mon intention préparées en toute liberté (pas de censure) et un travail (d'écriture) prévu sur le long terme, comme pour faire "fructifier" ma venue par la suite.  Je me suis sentie attendue, attentivement écoutée, bref - oserais-je l'écrire ? - utile.

 

Les questions des enfants portaient beaucoup sur les "coulisses du livre" - combien de temps faut-il pour écrire une histoire, est-ce que l'auteur et l'illustrateur travaillent ensemble, comment sont-ils payés - mais aussi sur ma "vocation" - quand ai-je commencé d'écrire et pourquoi.

J'espère avoir, par mes réponses les plus précises possibles, apaisé leur soif de comprendre... tout en aiguisant leur faim de savoir !

 

Voici l'un des aspects du métier que j'aime mettre en lumière : auteurs, illustrateurs, éditeurs, directeurs artistiques ou rédacteurs en chef, nous tous qui travaillons dans la presse et dans l'édition, nous nous trompons beaucoup ! Nous hésitons, nous doutons, nous nous posons de très nombreuses questions, puis nous faisons des choix.

Cette fois, j'avais apporté avec moi les différentes maquettes (correspondant aux différentes étapes) de la mise en place d'un J'Aime Lire. Les enfants ont pu voir les commentaires en marge, les avis des uns et des autres (qui bien souvent se contredisent) et l'évolution des illustrations, du crayonné à la couleur définitive.

J'avais aussi, sous le bras, la première impression en couleurs de Marabout et bout de sorcière : soigneusement anotée, elle montre bien tous les petits réglages que l'on peut faire jusqu'à la dernière minute.

Faire comprendre aux enfants qu'un livre ne sort pas tout-beau-tout-bien-fini, comme par magie, de nos mains d'or et de nos cerveaux surpuissants, me tient à coeur. D'une part, le travail leur apparaît concrêtement ; d'autre part, cela les désinhibe. Parfois - et là, pour moi, quelle récompense ! - certains s'autorisent soudain à sentir ce métier à leur portée.

 

D'ailleurs, des récompenses, durant cette journée autour de Mantes, j'en ai reçues bien d'autres. Et, de retour chez moi, au volant velu du tapis volant d'Amadou, j'ai savouré tous ces sourires complices, ces regards pétillants, ces questions spontanées - urgentes ! - qui jaillissent d'un coup et grippent la jolie mécanique de la liste numérotée, l'étonnement ravi du professeur devant l'élève "difficile" qui se révèle passionné, l'autographe (et le stylo-bille jaune fluo) d'une très jeune auteure prénommée Sakina, les bisous de toutes ses copines et les applaudissements "surprise" des CM2 de Limay.

Merci à vous, tout cela m'a fait chaud au coeur !

 

 

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19.12.2005 | Lien permanent

Lettres à une disparue

     Lettres à une disparue est mon premier roman.

Ecrit en 1996, il est paru dans la collection du Livre de Poche Jeunesse (Hachette) en 1998. Depuis, il a été réédité trois fois - en 2001, 2005 et 2008 - et a fait l'objet de très nombreuses réimpressions. Déjà vendues à plus de 100 000 exemplaires, c'est un joli succès, assuré seulement par le bouche à oreille... J'en suis très fière !

 
 

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Ci-dessous, ce qu'on en dit...

 

Dans la presse

 

Dans une dictature d'Amérique du Sud, Paloma, officiellement "portée disparue", a été assassinée pour avoir résisté à la barbarie. Sa mère, Melina, supporte l'insupportable en lui écrivant comme si elle était encore en vie. Et puis un jour, elle apprend que Nina, la fille de Paloma, serait encore vivante, adoptée par les bourreaux de sa mère. L'espoir renaît, le combat ne fait que commencer. Un livre de chair et de sang. Le Magazine Littéraire

 

Un roman épistolaire poignant qui dénonce les atrocités, les tortures, les disparitions, toutes ces violations des droits de l'homme qui sont pain quotidien dans les régimes dictatoriaux. Une tragédie familiale écrite avec force, justesse et réalisme. Citrouille

 

Finesse de la psychologie, simplicité de l'écriture, vérité historique et, hélas, encore d'actualité, rendent ce témoignage sur la barbarie tout à fait saisissant. Notes Bibliographiques

 

La forme épistolaire et le style très retenu nous permettent de suivre pas à pas le chemin intérieur de Melina qui dit d’elle-même : Moi, la pleureuse, la traîneuse de fantôme… Elle passe du présent vide au passé lumineux, de l’émotion brûlante à l’engagement dans l’action, d’une chambre d’enfant à la salle sans fenêtre d’un tribunal. Véronique Massenot évite avec bonheur et simplicité l’écueil de l’effusion. Seul compte le souci de la vie contre la bête immonde. Au fond, il est bon que ces lettres, adressées à tous, soient publiées dans une collection jeunesse. Pour demain, et plus.

Encres Vagabondes

 

Ce texte très dense évoque avec beaucoup d'émotion et de pudeur les difficiles situations affectives et morales éprouvées dans certaines histoires familiales. L'école des parents

 

L’auteur fait preuve d’un beau talent d’écriture. A la douceur du souvenir succède la douleur du bonheur perdu. Jamais rien de grandiloquent, mais l’expression nue du sentiment maternel accompagnée de l’énergie du désespoir. Nous voulons lire !

 

Neuf lettres qui disent la révolte, l’espoir et le désespoir, l’amour et la destruction de la vie, la nécessité de continuer à vivre malgré tout. (…) Un livre fort sur une histoire récente qui est une plaie toujours ouverte. La revue des livres pour enfants

 

 

 

Pourtant dans cet ouvrage, nulle barbarie, rien d’insoutenable sinon l’implacable absence, la réflexion et les souvenirs qu’elle suggère. Comme Melina, Véronique Massenot tourne son regard vers la vie. Son livre, aussi grave soit-il, porte un formidable message d’espoir. Au-delà du politique, elle privilégie l’humain. Au-delà de la souffrance, parle une langue universelle, intime. Le Progrès

 

 

Sur la toile

 

C'est un roman épistolaire poignant. C'est un texte tragique qui décrit avec réalisme les violences, qui dénonce les atrocités, les tortures et les disparitions qui sont si courantes dans les pays soumis à des dictatures.  Ce tout-petit livre de 90 pages est un grand livre par le sujet et la qualité de l'écriture, par la sobriété de ces pages d'écriture qui, peu à peu, permettent à Melina d'exorciser ses terribles souvenirs et d'accepter la mort de sa fille, puis de continuer à vivre et à combattre.
Pour ne pas oublier que cela existe encore aujourd'hui. Mieux qu'une leçon sur les Droits de l'homme, ou en complément. A lire et à faire lire dès 12-13 ans.

www.livres-jeunesse.net © Jean TANGUY

 

 

(…) Il y a pourtant moyen d'exprimer des sentiments semblables dans une langue universellement compréhensible et Véronique Massenot le démontre d'émouvante façon. Dans une Argentine sous la coupe de l'arbitraire militaire, les disparitions blessent plus cruellement encore que les meurtres. La mère dont l'enfant a été enlevée ne sait plus si elle espère en vain. Elle écrit d'admirables lettres à celle qui, peut-être, n'existe plus, mais ne peut les poster. Beau petit livre au ton juste. Nuit Blanche/Québec

 

 

Il n'y a pas d'âge pour lire ces lettres. Le sujet traité est très actuel et dans une écriture facile d'accès sans y être pour autant banalisé ou infantilisé. Très particulier. Bien écrit. Émouvant. On ressent au fur et à mesure de la lecture ce que peuvent ressentir les parents d'enfants qui disparaissent tant par la persécution d'une dictature que par un simple enlèvement. Titres en têtes/Québec

 

 

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24.02.2008 | Lien permanent

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